NDP Statement for National Day for Truth and Reconciliation 2025

NDP Critic for Indigenous Affairs, Lori Idlout, made the following statement:

“Today we reflect on Canada’s painful history with Indigenous people. We acknowledge the residential school system was a genocide designed to wipe out First Nations, Inuit, and Métis cultures, languages, families and heritage.

On this National Day for Truth and Reconciliation, we mourn the children that were killed in residential schools when they should have been playing in playgrounds. We honour the Survivors, their families and communities.

New Democrats acknowledge this history was hidden from Canadians, and we encourage all to use this this day to learn about the history of residential schools and the strength and courage of Indigenous people who share their stories and experiences.

Communities are still searching for the children who never came home. The consequences of Canada’s actions are still being experienced today. First Nations, Inuit, and Métis children are more likely to be in foster care, experience higher rates of poverty and food insecurity, are over-represented in the correctional system, and encounter systemic racism. Indigenous women and girls continue to go missing and murdered at a record rate.

The NDP is committed to the implementation of the 94 Calls to Action of the Truth and Reconciliation Commission, and the Calls to Justice from the Inquiry into Missing and Murdered Indigenous Women and Girls.

The Government of Canada can and must do better. They can implement the Calls to Action and Calls to Justice and reverse the chronic underfunding of Indigenous communities and services to improve the lives and well-being of all Indigenous children and families in equal partnership with First Nations, Inuit, and Métis peoples.”

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Déclaration du NPD pour la Journée nationale de la vérité et de la réconciliation 2025

La porte-parole du NPD en matière d’affaires autochtones, Lori Idlout, a fait la déclaration suivante :

« Aujourd’hui, nous méditons sur l’histoire douloureuse du Canada avec les peuples autochtones. Nous reconnaissons que le système des pensionnats était un génocide visant à anéantir la culture, les langues, les familles et le patrimoine des Premières Nations, des Inuits et des Métis.

En cette Journée nationale de la vérité et de la réconciliation, nous pleurons les enfants qui ont été tués dans les pensionnats, alors qu’ils auraient dû s’amuser dans la cour de récréation. Nous honorons les survivants, leur famille et leur communauté.

Les néo-démocrates sont conscients que ce fait a été caché aux Canadiens et ils les encouragent à profiter de cette journée pour se renseigner sur les pensionnats et découvrir la force et le courage des peuples autochtones qui racontent leurs histoires et leurs expériences.

Des communautés sont toujours à la recherche d’enfants qui ne sont jamais rentrés. Les conséquences des gestes du Canada sont encore ressenties de nos jours. Les enfants des Premières Nations, des Inuits et des Métis sont plus susceptibles de se retrouver en famille d’accueil et connaissent des taux plus élevés de pauvreté et d’insécurité alimentaire, en plus d’être surreprésentés dans le système correctionnel et d’être victimes de racisme systémique. Des femmes et des filles autochtones continuent de disparaître et d’être assassinées à un rythme record.

Le NPD a à cœur la mise en œuvre des 94 appels à l’action de la Commission de vérité et réconciliation et des appels à la justice découlant de l’Enquête sur les femmes et les filles autochtones disparues et assassinées.

Le gouvernement du Canada peut et doit faire mieux. Il peut mettre en œuvre les appels à l’action et les appels à la justice et remédier au sous-financement chronique des communautés et des services autochtones afin d’améliorer la vie et le bien-être de l’ensemble des enfants et des familles autochtones, d’égal à égal avec les Premières Nations, les Inuits et les Métis. »

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ᓄᑖᖅ ᓂᕈᐊᕐᓂᖃᕈᓐᓇᕐᓂᕐᒧᑦ ᐱᓕᕆᖃᑎᒌᑦᐅᖃᐅᓯᒃᓴᖏᑦ ᑲᓇᑕᓕᒫᕐᒥ ᐅᓪᓗᖓ ᓱᓕᔪᒥ ᐃᓱᒪᒋᔪᓐᓇᐃᖃᑎᒌᖕᓂᕐᒧᓪᓗ

ᓄᑖᖅ ᓂᕈᐊᕐᓂᖃᕈᓐᓇᕐᓂᕐᒧᑦ ᐱᓕᕆᖃᑎᒌᖕᓄ ᕿᒥᕐᕈᔨᐅᑎᓪᓗᒍ ᓄᓇᖃᖅᑳᖅᓯᒪᔪᓕᕆᔨᓄᑦ, ᐅᖃᐅᓯᕆᓚᐅᕐᐸᐃᑦ ᒪᓕᒃᑐᑦ:

“ᐅᓪᓗᒥ ᐃᑉᐱᒍᓱᖃᑎᒋᔭᕗᑦ ᓄᓇᖃᖅᑳᖅᓯᒪᔪᑦ ᑲᓇᑕᒥ ᖃᓄᐃᓕᐅᖅᑕᐅᕙᓚᐅᕐᓂᖏᓐᓄᑦ ᐋᓐᓂᕐᓇᖅᑐᓂᒃ. ᐅᔾᔨᕆᔭᕗᑦ ᐃᓕᓐᓂᐊᕆᐊᑎᑕᐅᕙᓚᐅᕐᑐᑦ ᑐᖁᑕᐅᖃᑦᑕᓚᐅᕐᒪᑕ ᓄᖑᑕᐅᓇᓱᒃᖢᑎᒃ ᓄᓇᖃᖅᑳᖅᓯᒪᔪᑦ, ᐃᓄᐃᑦ, ᐊᓪᓚᖓᔪᓪᓗ ᐱᖅᑯᓯᖏᑦ, ᐅᖃᐅᓯᑦ, ᐃᓚᒌᑦ ᐱᖅᑯᓯᑐᖃᖏᓪᓗ.

ᐅᓪᓗᒥ ᑲᓇᑕᓕᒫᕐᒥ ᐅᓪᓗᖓ ᓱᓕᔪᒥ ᐃᓱᒪᒋᔪᓐᓇᐃᖃᑎᒌᖕᓂᕐᒧᓪᓗ, ᖀᒃᓵᕈᑎᒋᔭᕗᑦ ᓄᑕᖅᑲᑦ ᑐᖁᑕᐅᓚᐅᕐᑐᑦ ᐃᓕᓐᓂᐊᕆᐊᖅᑎᑕᐅᓯᒪᑎᓪᓗᒋᑦ ᐊᓃᕋᔭᑐᐃᓐᓇᓪᓗᐊᓂᖅᑎᓪᓗᒋᑦ ᐱᙳᐊᕐᕕᖕᓂ ᓄᑕᖅᑲᓄᑦ. ᐅᐱᒋᑦᑎᐊᕐᑕᕗᑦ ᐊᖏᕐᕋᕈᓐᓇᓚᐅᕐᑐᑦ, ᐃᓚᒋᔭᖏᓪᓗᑦ ᓄᓇᓕᖏᓐᓂᒃ.

ᓄᑖᖅ ᓂᕈᐊᕐᓂᖃᕈᓐᓇᕐᓂᕐᒧᑦ ᐱᓕᕆᖃᑎᒌᑦ ᐅᔾᔨᕈᓱᒃᑐᑦ ᐱᖅᑯᓯᑐᖃᓂᒃ ᐃᔨᖅᑕᐅᓯᒪᔪᓂᒃ ᑲᓇᑕᒥᐅᑕᓂᒃ, ᑲᔪᖏᓴᐃᕗᒍᑦ ᐃᓕᑦᑎᕕᒋᖁᓪᓗᒋᑦ ᑕᒪᓐᓇ ᐃᓪᓕᓐᓂᐊᕆᐊᕐᕕᐅᕙᓚᐅᕐᑐᑦ ᐊᒻᒪ ᓴᙱᓂᖏᑦ ᐊᔪᒋᓐᓂᖏᓪᓗ ᓄᓇᖃᖅᑳᖅᓯᒪᔪᑦ ᐅᓂᒃᑳᕈᓐᓇᕐᓂᖏᓐᓄᑦ ᖃᓄᐃᑕᐅᓂᕆᕙᓚᐅᕐᑕᖏᑦ.

ᓄᓇᓖᑦ ᓱᓕ ᕿᓂᖅᐸᒃᑐᑦ ᓄᑕᖅᑲᓂᒃ ᐊᖏᕐᕋᓚᐅᖅᓯᒪᖏᑦᑐᓂᒃ. ᑲᓇᑕᐅᑉ ᖃᓄᐃᓕᐅᕐᓂᕆᖃᑦᑕᕐᑕᖏᑦ ᐅᓪᓗᒥ ᐃᐱᒋᔭᐅᔪᑦ ᓱᓕ. ᓄᓇᖃᖅᑳᖅᓯᒪᔪᑦ, ᐃᓄᐃᑦ, ᐊᓪᓚᖓᔪᓪᓗ ᓄᑕᖅᑲᖏᑦ ᐃᓄᓕᕆᔨᓂᑦ ᐱᔭᐅᒐᔪᖕᓂᖅᓴᐅᑐᐃᓐᓇᕆᐊᓖᑦ, ᑳᖃᑦᑕᓗᐊᕐᑐᑦ ᓂᕿᖃᕈᓐᓇᖏᑦᑐᓪᓗ, ᑭᒡᒐᖅᑐᕐᑕᐅᓗᐊᒪᔮᕐᐸᒃᑐᑦ, ᐃᓄᓕᕆᔨᒃᑯᑎᒍᑦ, ᐊᑭᕋᕐᑐᖅᑕᐅᓗᐊᓕᕐᐸᒃᖢᑎᒃ. ᓄᓇᖃᖅᑳᖅᓯᒪᔪᑦ ᐊᕐᓇᐃᑦ ᓂᕕᐊᕐᓵᓪᓗ ᐊᓯᐅᖏᓐᓇᖃᑦᑕᕐᑐᑦ ᐃᓄᐊᖅᑕᐅᕙᒃᖢᑎᒃᓗ ᓱᒃᑲᓂᕐᐹᒥ ᑦᓇᓗᓇᐃᖅᑕᐅᓯᒪᔪᑦ.

ᓄᑖᖅ ᓂᕈᐊᕐᓂᖃᕈᓐᓇᕐᓂᕐᒧᑦ ᐱᓕᕆᖃᑎᒌᑦ ᐊᑐᓕᖅᑎᑦᑎᔪᒪᑦᑎᐊᕐᑐᑦ 94−ᓂᒃ ᐊᐅᓚᔾᔭᐃᒋᐊᕐᑎᑦᑎᓂᕐᒥᒃ ᓱᓕᔪᒥ ᐃᓱᒪᒋᔪᓐᓇᐃᖃᑎᒌᖕᓂᕐᒧᑦ ᑲᑎᒪᔨᒌᖕᓂᑦ, ᐃᖅᑲᖅᑐᖅᑕᐅᖁᔨᓂᕐᓗ ᖃᐅᔨᒋᐊᕐᕕᐅᕙᒃᑐᓂ ᐊᓯᐅᓯᒪᔪᕐᓄ ᐃᓄᐊᖅᑕᐅᓯᒪᔪᓄᓪᓗ ᓄᓇᖃᖅᑳᖅᓯᒪᔪᑦ ᐊᕐᓇᐃᑦ ᓂᕕᐊᕐᓵᓪᓗ.

ᒐᕙᒪᒃᑯᑦ ᑲᓇᑕᒥ ᐱᓕᕆᑦᑎᐊᕈᓐᓇᕐᓂᖅᓴᐅᔪᑦ ᐱᓕᕆᑦᑎᐊᕐᓂᖅᓴᐅᓪᓗᐊᖅᖢᑎᒃᓗ. ᐋᖅᑭᒃᓯᔪᓐᓇᕐᑐᑦ ᐊᐅᓚᔾᔭᒋᐊᕐᑎᑦᑎᓂᕐᒥ ᐃᖅᑲᖅᑐᖅᑕᐅᖁᔨᓂᕐᒧᓪᓗ ᐃᒡᓗᐊᓄᖔᖅ ᓵᑎᓪᓗᒍᓗ ᑮᓇᐅᔭᖃᖅᑎᑦᑎᖃᑦᑕᙱᓗᐊᕐᓂᖅ ᓄᓇᖃᖅᑳᖅᓯᒪᔪᑦ ᓄᓇᓕᖏᓐᓂᒃ ᐱᔨᑦᑎᕋᕐᕕᖏᓪᓗ ᐱᐅᓯᒋᐊᕐᑎᓯᒻᒫᖅ ᐃᓅᓯᖏᑦ ᖃᓄᐃᖏᑦᑎᐊᓕᕐᓗᑎᒃᓗ ᓄᓇᖃᖅᑳᖅᓯᒪᔪᑦ ᓄᑕᖅᑲᖏᑦ ᐃᓚᒌᓪᓗ ᓈᒻᒪᑦᑎᐊᕐᑐᒥᒃ ᐱᓕᕆᖃᑎᒋᓗᒋᑦ ᓄᓇᖃᖅᑳᖅᓯᒪᔪᑦ, ᐃᓄᐃᑦ ᐊᓪᓚᖓᔪᓪᓗ.

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